Voici sans doute une des pratiques les plus courantes dans le BDSM mais qui malgré tout me procure toujours beaucoup de plaisir lorsque
je m’y adonne. Je peux en effet commencer tout doucement par titiller les têtons avec mes doigts et ensuite augmenter au fur et à mesure la pression exercer sur les seins en les pinçant de plus en plus fort tout en voyant alors le visage du soumis grimacer de plus en plus lorsque la douleur se fait sentir. A ce stade là tout cela reste malgré tout assez soft. Mais dès que les seins de mon soumis se font plus sensible je peux ensuite poursuivre avec d’autres différents types de jeux. J’ai notamment à ma disposition une grande panoplie de pinces les unes plus cruelles que les autres allant de la simple pince à linge jusqu’à des pinces crocodiles aux dents acérés en passant par des pinces chirurgicales. A ces pinces je peux aussi encore associer une série de poids qui étirera encore plus les seins de mes proies. En réalité la torture des seins me permet régulièrement de faire remonter à la surface les petits côtés sadiques de ma personnalité en tenant toujours compte du seuil de résistance du soumis que j’ai en face de moi.
Pour les plus résistants d’entre eux je peux aussi utiliser des aiguilles qui transperceront leurs seins et augmenteront encore la sensibilité de ceux-ci. La bougie peut aussi être utilisée pour réchauffer les seins en y faisant couler des gouttes de cire et pour les refroidir je peux ensuite me servir de glaçons. Et puis s’ils ont besoins d’être à nouveau réchauffer je peux aussi faire appel à ma panoplie de fouets et autres cravaches.
Bref de nombreuses possibilités s’offrent à moi pour torturer au mieux les seins de mes esclaves. Lorsqu’ils sont à ma merci et qu’ils sont entravés ou non par des liens ou attachés de différentes manières ou suspendus dans les airs, d’une manière ou d’une autre j’ai toujours un accès direct à leurs seins et je peux ainsi donner libre cours à mes envies du moment et je ne m’en prive pas.